Des legs aux héritages, des valises en cartons oubliées dans les maisons des aïeules, travaux d’aiguilles souvent raillés et méprisés, le temps les a mangé…
Mémoires contenues dans des fils arachnéens, ces Pénélopes sont arrivées à moi par de multiples chemins. Les frontières du temps et de l’espace ne sont qu’illusion, la trame perdure toujours, même avec ses vides et ses manques, comblant l’absence de nos grands-mères, puits sans fond de mémoire….
Créant de nouveaux territoires, une cartographie recomposée dessinant les portraits des généreuses d’un autre temps. Aiguille qui suture, fil qui répare.